Philip Mikos, le chef de la Coopération à la Délégation
de l’Union européenne au Maroc, aurait fait part de son insatisfaction
contre Aziz Rabbah, le maire PJD de Kénitra.
Selon Jeune Afrique qui rapporte l'information ce mercredi, c'est l'état d'avancement du projet d’électrification durable de la ville, financé par un don de l'UE d'un million d’euros, qui est à l'origine du différend.
Le journal, qui s'est procuré des copies de deux courriers datés du 11 juillet et du 30 août 2016, adressés à ce sujet par Philip Mikos à Aziz Rabbah, indique que le responsable européen a signalé au maire que "la plupart des activités prévues" dans le programme "n’ont pas été engagées".
Aussi, Mikos déplorerait "un retard de plus d’un an" déjà, alors même "qu’un préfinancement a été accordé dès la signature du contrat, fin 2014".
Selon les échanges et les réunions tenues entre l’équipe de la mairie de Kénitra et la délégation de l'UE, "un manque flagrant d’appropriation du projet et des capacités limitées au niveau de la commune", ont également été signalés, selon la même source.
Le responsable de l'UE a ainsi "enjoint" Rabbah de justifier les dépenses éventuelles déjà engagées, "faute de quoi l’UE se réserve le droit de résilier le contrat et procéder au recouvrement des montants déjà payés", conclut le courrier.
Selon Jeune Afrique qui rapporte l'information ce mercredi, c'est l'état d'avancement du projet d’électrification durable de la ville, financé par un don de l'UE d'un million d’euros, qui est à l'origine du différend.
Le journal, qui s'est procuré des copies de deux courriers datés du 11 juillet et du 30 août 2016, adressés à ce sujet par Philip Mikos à Aziz Rabbah, indique que le responsable européen a signalé au maire que "la plupart des activités prévues" dans le programme "n’ont pas été engagées".
Aussi, Mikos déplorerait "un retard de plus d’un an" déjà, alors même "qu’un préfinancement a été accordé dès la signature du contrat, fin 2014".
Selon les échanges et les réunions tenues entre l’équipe de la mairie de Kénitra et la délégation de l'UE, "un manque flagrant d’appropriation du projet et des capacités limitées au niveau de la commune", ont également été signalés, selon la même source.
Le responsable de l'UE a ainsi "enjoint" Rabbah de justifier les dépenses éventuelles déjà engagées, "faute de quoi l’UE se réserve le droit de résilier le contrat et procéder au recouvrement des montants déjà payés", conclut le courrier.
HuffPost Maroc
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Par
Ghita Ismaili
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