Kénitra - La traduction du recueil de poésie de Mustapha Daou "Imi n'Ifri", qui signifie entrée de caverne en amazigh, vient de paraître chez les éditions Boukili à Kénitra.
Le recueil traduit par Mustapha Kouara, est préfacé par le journaliste Driss Lyakoubi. La poésie de Mustapha Daou, écrit ce dernier, puise sa substance dans la source intarissable de l'héritage humain, hellénique, romain, arabo-musulman.
Sa poésie, dit-il, est une véritable mosaïque qui séduit par le foisonnement d'images qu'elle contient. On a l'impression, explique-t-il, que le poète nous rappelle que l'universel est au fond de chacun de nous.
Dès le premier poème " Icô ne de séduction", on plonge dans un univers où le temps et l'espace ne répondent plus à des logiques historiques et géographiques.
Le lecteur est invité à une sorte de voyage initiatique (...) dans des lieux qui peuvent nous paraître, à première vue, inaccessibles, mais dès qu'on s'y engouffre, l'émerveillement et l'éblouissement des sens sont garantis.
Dans chacun des poèmes, le lecteur se trouve emporté par des sensations fortes pour être juste après apaisé par la douceur des mots.
Mustapha Daou, écrit Driss Lyakoubi, n'est pas uniquement un poète, c'est un sculpteur de formes visuelles. Il confectionne ses vers avec la passion et l'aisance d'un tailleur de diamants. On sent chez lui cette méticulosité d'un maître artisan, souligne-t-il.
Mustapha Dou est né en 1949 à Kénitra où il a fait ses classes primaires et secondaires avant d'obtenir une licence en philosophie à la faculté des lettres de l'université Mohammed V de Rabat en 1974.
Il va par la suite travailler au ministère de la culture où il sera notamment chargé de la division de la vulgarisation du livre à la direction du libre, des bibliothèques et des archives.
Il a aussi travaillé à la rédaction de la revue " Al Manahil " et organisé et participé à plusieurs manifestations culturelles nationales et internationales au Maroc et à L'étranger.
Il a écrit plusieurs ouvrages et traductions .Parmi ses Âœuvres " Imin nIfri " parue en 2010, et traduit de l'arabe au français et " Faynak al Amgoune " (2009).
Sa poésie, dit-il, est une véritable mosaïque qui séduit par le foisonnement d'images qu'elle contient. On a l'impression, explique-t-il, que le poète nous rappelle que l'universel est au fond de chacun de nous.
Dès le premier poème " Icô ne de séduction", on plonge dans un univers où le temps et l'espace ne répondent plus à des logiques historiques et géographiques.
Le lecteur est invité à une sorte de voyage initiatique (...) dans des lieux qui peuvent nous paraître, à première vue, inaccessibles, mais dès qu'on s'y engouffre, l'émerveillement et l'éblouissement des sens sont garantis.
Dans chacun des poèmes, le lecteur se trouve emporté par des sensations fortes pour être juste après apaisé par la douceur des mots.
Mustapha Daou, écrit Driss Lyakoubi, n'est pas uniquement un poète, c'est un sculpteur de formes visuelles. Il confectionne ses vers avec la passion et l'aisance d'un tailleur de diamants. On sent chez lui cette méticulosité d'un maître artisan, souligne-t-il.
Mustapha Dou est né en 1949 à Kénitra où il a fait ses classes primaires et secondaires avant d'obtenir une licence en philosophie à la faculté des lettres de l'université Mohammed V de Rabat en 1974.
Il va par la suite travailler au ministère de la culture où il sera notamment chargé de la division de la vulgarisation du livre à la direction du libre, des bibliothèques et des archives.
Il a aussi travaillé à la rédaction de la revue " Al Manahil " et organisé et participé à plusieurs manifestations culturelles nationales et internationales au Maroc et à L'étranger.
Il a écrit plusieurs ouvrages et traductions .Parmi ses Âœuvres " Imin nIfri " parue en 2010, et traduit de l'arabe au français et " Faynak al Amgoune " (2009).
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