Réalisatrice du court métrage «Quand ils dorment », Meriem Touzani a reçu une distinction spéciale du Jury de la sixième édition du Festival du court métrage «Sebou» qui vient d’avoir lieu à Kénitra.
Cette 6ème édition a tenu toutes ses promesses. Une manifestation marquée par la présence de plusieurs grands noms du cinéma marocain : des réalisateurs comme Driss Chouika, Chrif Tribek, Abdelmajid R’chiche, Abdelkrim Derkaoui et des comédiens de notoriété tels que Mohamed Khouyi, Mohamed Choubi, Abdallah Amrani, Houdaٌ Rihani, Noureddine Ziane, Fatima Boujou et Majda Zabita.
Organisé par le ciné club de Kénitra en collaboration avec le CCM, ce Festival a présenté toute une série de courts métrages prometteurs.
Le premier prix est revenu à «Quand ils dorment» de Meriem Touzani, suivi de « La main gauche» de Fadel Chouika tandis que le troisième prix, celui de l’originalité, a été décerné «Aux vagues du temps» interprété par l’artiste Mohamed Khalfi.
Quatre autres courts métrages hors compétition ont été visionnés et particulièrement suivis tels : «Al Qods ya bnadem» de Mustapha Chaâbi ou encore «Feu rouge» de Abdallah Aboujida.
Parmi les autres films programmés, on peut citer «Plus qu’une vie» de Mohamed Merzaoui, «L’amour noir» de Nabil Ahtar, «Au secours Africa» de Zainab Toubali, «Le recrutement» de Abdeslem El Kaleii, «L’avocat» de Tarek Asmouz El Jawhari, «Aller-retour» de Zakaria Naciri , «Réveille-toi» de Mohamed Niya, «Sirène» de Mohamed Hatim Belmahdi, «6h15 minutes» de Karima Mouna et «Vœu» de Tarek Al Kounnach.
Un vibrant hommage a été rendu à la réalisatrice Farida Belyazid, dont les œuvres «Kid nssa» , «Une porte sur le ciel» et «Juanita de Tanger» restent dans les mémoires et aussi à l’acteur et doyen Mohamed Khalfi. C’est aussi l’occasion pour le président du ciné-club de Kénitra Mokhtar Ait Omar, organisateur de ce festival, de déplorer la fermeture en série des salles de cinéma à Kénitra, soulignant notamment le fait que six salles ont été fermées jusqu’à présent dans la capitale du Gharb où les jeunes cinéphiles militent pour la réouverture du cinéma Palace, un joyau culturel et architectural puisqu’il est classé monument historique par le ministère de la Culture.
Le jury du Festival était, quant à lui, composé de plusieurs cinéastes de notoriété notamment de Jilali Ferhati, Bouchra Ijork et Khalid Soulami, à la fois acteur associatif et ancien directeur de l’AREF d’El Jadida.
Vendredi 8 Juin 2012
Libé
Cette 6ème édition a tenu toutes ses promesses. Une manifestation marquée par la présence de plusieurs grands noms du cinéma marocain : des réalisateurs comme Driss Chouika, Chrif Tribek, Abdelmajid R’chiche, Abdelkrim Derkaoui et des comédiens de notoriété tels que Mohamed Khouyi, Mohamed Choubi, Abdallah Amrani, Houdaٌ Rihani, Noureddine Ziane, Fatima Boujou et Majda Zabita.
Organisé par le ciné club de Kénitra en collaboration avec le CCM, ce Festival a présenté toute une série de courts métrages prometteurs.
Le premier prix est revenu à «Quand ils dorment» de Meriem Touzani, suivi de « La main gauche» de Fadel Chouika tandis que le troisième prix, celui de l’originalité, a été décerné «Aux vagues du temps» interprété par l’artiste Mohamed Khalfi.
Quatre autres courts métrages hors compétition ont été visionnés et particulièrement suivis tels : «Al Qods ya bnadem» de Mustapha Chaâbi ou encore «Feu rouge» de Abdallah Aboujida.
Parmi les autres films programmés, on peut citer «Plus qu’une vie» de Mohamed Merzaoui, «L’amour noir» de Nabil Ahtar, «Au secours Africa» de Zainab Toubali, «Le recrutement» de Abdeslem El Kaleii, «L’avocat» de Tarek Asmouz El Jawhari, «Aller-retour» de Zakaria Naciri , «Réveille-toi» de Mohamed Niya, «Sirène» de Mohamed Hatim Belmahdi, «6h15 minutes» de Karima Mouna et «Vœu» de Tarek Al Kounnach.
Un vibrant hommage a été rendu à la réalisatrice Farida Belyazid, dont les œuvres «Kid nssa» , «Une porte sur le ciel» et «Juanita de Tanger» restent dans les mémoires et aussi à l’acteur et doyen Mohamed Khalfi. C’est aussi l’occasion pour le président du ciné-club de Kénitra Mokhtar Ait Omar, organisateur de ce festival, de déplorer la fermeture en série des salles de cinéma à Kénitra, soulignant notamment le fait que six salles ont été fermées jusqu’à présent dans la capitale du Gharb où les jeunes cinéphiles militent pour la réouverture du cinéma Palace, un joyau culturel et architectural puisqu’il est classé monument historique par le ministère de la Culture.
Le jury du Festival était, quant à lui, composé de plusieurs cinéastes de notoriété notamment de Jilali Ferhati, Bouchra Ijork et Khalid Soulami, à la fois acteur associatif et ancien directeur de l’AREF d’El Jadida.
Vendredi 8 Juin 2012
Libé
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