L'Agence française de développement (AFD) a accordé un prêt d'un montant de 20 millions d'euros au Maroc pour le financement du projet de création de centres de formation professionnelle dans le secteur automobile à Kénitra et à Tanger.
La convention relative à ce prêt a été signée, lundi à Rabat, par le secrétaire général du ministère de l'Economie et des finances, M. Abdellatif Loudyi et le directeur général de l'AFD, M. Dov Zerah, en présence du ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle, M. Jamal Rhmani, du ministre de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami et de l'ambassadeur de France à Rabat, M. Bruno Joubert.
La convention porte ainsi sur le financement du projet de création de deux instituts de formation aux métiers de l'industrie de l'automobile destinés aux équipements implantés à Kénitra et Tanger, ainsi qu'un centre de formation aux métiers de l'automobile à Tanger destiné au constructeur Renault et à ses sous-traitants.
Ce projet s'intègre parfaitement dans la stratégie engagée par le gouvernement pour améliorer la compétitivité du secteur automobile marocain et favoriser son développement par la qualification des ressources humaines.
S'exprimant à cette occasion, M. Rhmani s'est félicité de la signature de cette convention qui, a-t-il dit, vient accompagner les ambitions du Pacte national pour l'émergence industrielle notamment dans le secteur automobile.
A travers le financement de ce projet, l'AFD contribue à la formation des ressources humaines dans le secteur automobile au Maroc, a-t-il souligné, mettant l'accent, dans ce sens, sur l'importance des ressources humaines dans la réussite des chantiers de développement auxquels le Royaume a adhéré.
La signature de cette convention s'inscrit en parfaite harmonie avec les engagements pris par les deux pays lors de la dernière réunion de la Commission mixte maroco-française, a-t-il encore indiqué.
Pour sa part, M. Chami a souligné que les besoins financiers du Maroc sont de plus de plus importants, eu égard à la politique économique ambitieuse adoptée par le pays.
Il s'est par ailleurs félicité du partenariat "idéal" entre le Maroc et la France, rappelant que le Royaume est parmi les premiers bénéficiaires de l'appui de l'AFD.
M. Loudyi a, quant à lui, rappelé le "travail important" de l'AFD au Maroc, soulignant que la coopération entre les deux parties a touché plusieurs domaines notamment l'eau, l'énergie, les secteurs sociaux et le désenclavement du monde rural.
Il s'est également félicité du bilan "très positif" de cette coopération, appelant à la consolider davantage.
Le directeur général de l'AFD a, de son côté, affirmé que ce projet est intéressant, eu égard à l'importance de la formation professionnelle et de la structuration de l'industrie automobile.
Il a dans ce sens réitéré la détermination de l'AFD à accompagner le développement économique au Maroc en général et de l'industrie automobile en particulier, plaidant pour le renforcement de la coopération maroco-française dans ce secteur.
Prenant la parole à son tour, l'ambassadeur de France au Maroc a salué la volonté du Royaume à renforcer la compétitivité de l'économie nationale, réitérant la disposition de son pays à accompagner le développement du tissu économique marocain.
Evoquant la création de ces centres de formation professionnelle, le diplomate français a relevé que ce projet, destiné à appuyer la politique marocaine dans le domaine de formation professionnelle, contribuera au renforcement du partenariat entre les branches industrielles marocaines et françaises et favorisera l'ancrage à l'économie européenne.
La convention relative à ce prêt a été signée, lundi à Rabat, par le secrétaire général du ministère de l'Economie et des finances, M. Abdellatif Loudyi et le directeur général de l'AFD, M. Dov Zerah, en présence du ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle, M. Jamal Rhmani, du ministre de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami et de l'ambassadeur de France à Rabat, M. Bruno Joubert.
La convention porte ainsi sur le financement du projet de création de deux instituts de formation aux métiers de l'industrie de l'automobile destinés aux équipements implantés à Kénitra et Tanger, ainsi qu'un centre de formation aux métiers de l'automobile à Tanger destiné au constructeur Renault et à ses sous-traitants.
Ce projet s'intègre parfaitement dans la stratégie engagée par le gouvernement pour améliorer la compétitivité du secteur automobile marocain et favoriser son développement par la qualification des ressources humaines.
S'exprimant à cette occasion, M. Rhmani s'est félicité de la signature de cette convention qui, a-t-il dit, vient accompagner les ambitions du Pacte national pour l'émergence industrielle notamment dans le secteur automobile.
A travers le financement de ce projet, l'AFD contribue à la formation des ressources humaines dans le secteur automobile au Maroc, a-t-il souligné, mettant l'accent, dans ce sens, sur l'importance des ressources humaines dans la réussite des chantiers de développement auxquels le Royaume a adhéré.
La signature de cette convention s'inscrit en parfaite harmonie avec les engagements pris par les deux pays lors de la dernière réunion de la Commission mixte maroco-française, a-t-il encore indiqué.
Pour sa part, M. Chami a souligné que les besoins financiers du Maroc sont de plus de plus importants, eu égard à la politique économique ambitieuse adoptée par le pays.
Il s'est par ailleurs félicité du partenariat "idéal" entre le Maroc et la France, rappelant que le Royaume est parmi les premiers bénéficiaires de l'appui de l'AFD.
M. Loudyi a, quant à lui, rappelé le "travail important" de l'AFD au Maroc, soulignant que la coopération entre les deux parties a touché plusieurs domaines notamment l'eau, l'énergie, les secteurs sociaux et le désenclavement du monde rural.
Il s'est également félicité du bilan "très positif" de cette coopération, appelant à la consolider davantage.
Le directeur général de l'AFD a, de son côté, affirmé que ce projet est intéressant, eu égard à l'importance de la formation professionnelle et de la structuration de l'industrie automobile.
Il a dans ce sens réitéré la détermination de l'AFD à accompagner le développement économique au Maroc en général et de l'industrie automobile en particulier, plaidant pour le renforcement de la coopération maroco-française dans ce secteur.
Prenant la parole à son tour, l'ambassadeur de France au Maroc a salué la volonté du Royaume à renforcer la compétitivité de l'économie nationale, réitérant la disposition de son pays à accompagner le développement du tissu économique marocain.
Evoquant la création de ces centres de formation professionnelle, le diplomate français a relevé que ce projet, destiné à appuyer la politique marocaine dans le domaine de formation professionnelle, contribuera au renforcement du partenariat entre les branches industrielles marocaines et françaises et favorisera l'ancrage à l'économie européenne.
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