L'atelier sur "Les techniques de résolution des conflits et la gestion des projets" a pris fin dimanche à Kénitra.
Au cours de cet atelier, organisé au profit de 25 acteurs associatifs par l'ambassade de Grande-Bretagne au Maroc et l'Organisation internationale pour la recherche d'une plate-forme commune (section Maroc), les participants ont pu suivre des cours théoriques et pratiques sur "Les compétences dans le domaine de résolution des conflits", "La communication et les relations publiques", "Les techniques de gestion des conflits" et "Les compétences dans le domaine de la communication". Les débats ont notamment porté sur "La gestion stratégique des projets", "L'adoption d'une stratégie animée par l'esprit d'émulation", "L'élaboration de projets, les demandes de leur financement adressées aux bailleurs de fonds internationaux et la capacité de les convaincre" quant à leurs qualités et leurs objectifs.
Cet atelier avait pour principal but de permettre aux acteurs associatifs d'accéder aux outils nécessaires à leur action auprès des habitants et de soutenir leurs capacités à mieux gérer les conflits auxquels ils sont confrontés.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'un programme stratégique visant à former 150 cadres associatifs représentant 75 associations marocaines œuvrant, notamment dans les quartiers pauvres à Fès, Oujda, Al Hoceïma, Kénitra, Rissani (Errachidia) et Marrakech.
L'organisation de cet atelier s'inscrivait également dans le cadre de la coopération anglo-marocaine, selon les organisateurs qui aspirent à travers cette initiative, à soutenir la dynamique créée par l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) lancée par S.M. le Roi Mohammed VI dans le but de renforcer le rôle de la société civile. En organisant cet atelier, l'ambassade britannique avait pour but de soutenir la société civile marocaine par le biais du financement de projets associatifs visant à consolider l'Etat de droit.
L'ambassade de Grande-Bretagne au Maroc a consacré en 2005-2006 une enveloppe budgétaire de 766.000 livres sterling pour soutenir ces projets contre seulement 243.000 en 2004-2005.
De son côté, l'Organisation internationale pour la recherche d'une plate-forme commune, qui a créé une section en 2001 au Maroc, œuvre avec les acteurs de la société civile marocaine, au changement des méthodes auxquelles ont recours les personnes et les établissements pour résoudre les conflits et pour promouvoir la culture de la médiation au Maroc, dans le but de réduire le coût du conflit et de limiter ses dangers.
Cette organisation, qui a des sections dans 15 pays, œuvre également au renforcement des capacités des personnes et des établissements dans le but d'adopter le principe de coopération dans la résolution des conflits et pour la promotion de la culture du dialogue à travers le rapprochement des différents acteurs de la société civile.
Cette organisation contribue aussi à la mise en œuvre du programme commun de coopération avec le ministère marocain de la justice (2004-2008) visant à insérer la médiation au sein du système judiciaire marocain et à promouvoir un projet précurseur d'alternatives pour la résolution des conflits en coopération avec les tribunaux marocains.
Par MAP
Au cours de cet atelier, organisé au profit de 25 acteurs associatifs par l'ambassade de Grande-Bretagne au Maroc et l'Organisation internationale pour la recherche d'une plate-forme commune (section Maroc), les participants ont pu suivre des cours théoriques et pratiques sur "Les compétences dans le domaine de résolution des conflits", "La communication et les relations publiques", "Les techniques de gestion des conflits" et "Les compétences dans le domaine de la communication". Les débats ont notamment porté sur "La gestion stratégique des projets", "L'adoption d'une stratégie animée par l'esprit d'émulation", "L'élaboration de projets, les demandes de leur financement adressées aux bailleurs de fonds internationaux et la capacité de les convaincre" quant à leurs qualités et leurs objectifs.
Cet atelier avait pour principal but de permettre aux acteurs associatifs d'accéder aux outils nécessaires à leur action auprès des habitants et de soutenir leurs capacités à mieux gérer les conflits auxquels ils sont confrontés.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'un programme stratégique visant à former 150 cadres associatifs représentant 75 associations marocaines œuvrant, notamment dans les quartiers pauvres à Fès, Oujda, Al Hoceïma, Kénitra, Rissani (Errachidia) et Marrakech.
L'organisation de cet atelier s'inscrivait également dans le cadre de la coopération anglo-marocaine, selon les organisateurs qui aspirent à travers cette initiative, à soutenir la dynamique créée par l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) lancée par S.M. le Roi Mohammed VI dans le but de renforcer le rôle de la société civile. En organisant cet atelier, l'ambassade britannique avait pour but de soutenir la société civile marocaine par le biais du financement de projets associatifs visant à consolider l'Etat de droit.
L'ambassade de Grande-Bretagne au Maroc a consacré en 2005-2006 une enveloppe budgétaire de 766.000 livres sterling pour soutenir ces projets contre seulement 243.000 en 2004-2005.
De son côté, l'Organisation internationale pour la recherche d'une plate-forme commune, qui a créé une section en 2001 au Maroc, œuvre avec les acteurs de la société civile marocaine, au changement des méthodes auxquelles ont recours les personnes et les établissements pour résoudre les conflits et pour promouvoir la culture de la médiation au Maroc, dans le but de réduire le coût du conflit et de limiter ses dangers.
Cette organisation, qui a des sections dans 15 pays, œuvre également au renforcement des capacités des personnes et des établissements dans le but d'adopter le principe de coopération dans la résolution des conflits et pour la promotion de la culture du dialogue à travers le rapprochement des différents acteurs de la société civile.
Cette organisation contribue aussi à la mise en œuvre du programme commun de coopération avec le ministère marocain de la justice (2004-2008) visant à insérer la médiation au sein du système judiciaire marocain et à promouvoir un projet précurseur d'alternatives pour la résolution des conflits en coopération avec les tribunaux marocains.
Par MAP
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