Parmi le travail routinier de la commune, et parmi les besoins primaires de la population, il y a lieu de souligner : l’entretien de la voierie, l’éclairage public, l’entretien des espaces verts (pour lutter contre la pollution), le contrôle du transport public interurbain, la supervision et le contrôle des sociétés chargées de la collecte des ordures, le contrôle régulier des constructions, et autres tâches, la liste est longue… Mais ce qui a étonné en premier rang la population kénitréenne c’est la politique adoptée par la présidence et le service chargé de cette activité, en terme d’entretien de la voierie : espace des villas, voies menant vers les domiciles des militants du parti de la présidence, etc. ; par contre les zones vulnérables n’ont pas été touchées sous prétexte qu’elles seront programmées, l’exemple de Ouled Oujih (route des autobus passant par la localité Sayad ; axe limitrophe de la mosquée Taqoua), artère avoisinant la citée d’urgence, Diour Chaabi, route de Mehdia, Menzah, Bouchtiyene, voie menant vers le cimetière Ouled Oujih, ect… En principe il doit y avoir un programme bien conçu, étudié avec hiérarchisation des priorités et non seulement utiliser l’entretien de la voierie de cette manière pour un objectif ciblé : les élections 2012.
La wilaya de la région du Gharb Chrarda Bni Hsen connait actuellement de grands travaux d’aménagement et de rénovation concernant les différents services. Autrement dit le siège de la wilaya reflètera un cadre agréable pour l’environnement avec l’amélioration des conditions de travail pour les ressources humaines et demandeurs des services. Rappelons que cette zone renferme de nombreux immeubles sans infrastructure de base. Malheureusement un grand espace pouvant servir à cet usage est encore occupé par de vétustes habitations servant autrefois comme maison de fonction pour les éléments des forces auxiliaires. Certes ce corps a servi la Nation mais a été récompensé par l’octroi de lots de terrains et autres aides pour construction de maisons répondant aux attentes de ce corps. En effet de belles maisons (rez-de-chaussée + étage, parfois avec garage à usage commercial) ont été construites, et occupées actuellement par les bénéficiaires. Cependant une minorité voulant s’enrichir davantage refuse d’évacuer ces maisons. Il est temps d’envisager des solutions raisonnables pour que cet espace soit aménagé en parc, jardin d’enfants, jeux pour enfants, et autres loisirs.
Certaines administrations, organismes privés ou semi privés, ou certaines autres institutions oublient sûrement sans le vouloir de changer de drapeau national dressé sur leur construction une fois abimé par le soleil, la pluie, le vent ou autre. Cet état de chose est à bannir à jamais car le drapeau national est le fruit d’un grand sacrifice et de lutte du Roi et du peuple. Il est temps de constituer une commission permanente pour corriger certains comportements et responsabiliser les responsables des différents services qu’elle que soit leur statut.
- La circulation devient de plus en plus dense surtout en plein centre de la ville de Kénitra, la corniche, la route de Mehdia, Khabbazat, Bir Anzarane, boulevard El Massira, route Souk Sebt, route du port, poids lourd, Ouled Oujih, boulevard des F.A.R…. Kénitra s’étouffe par insuffisance de voies et artères décongestionnant la ville. En plus de cette problématique, le stationnement des véhicules est devenu un vrai calvaire pour les usagers de la route. Il est temps d’activer tout en supervisant la qualité des travaux de la route passant par l’université Ibn Tofaïl pour réanimer Kénitra de son asphyxie. La commission mixte chargée de la circulation doit trouver d’autres alternatives pour alléger les problèmes du stationnement : révision des pose de plaques des interdits, stationnement non autorisé, etc…
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