Plusieurs points liés au quotidien des habitants ont été adoptés lors de la session extraordinaire du Conseil municipal.
Le conseil municipal de Mehdia s'est réuni en session extraordinaire, le mercredi 9 décembre. Il a été présidé par le président du conseil, Khalil Liahiaouine, en présence du pacha de la municipalité de Mehdia.Les six points inscrits à l'ordre du jour ont été approuvés à l'unanimité par les conseillers communaux présents.
Il s'agissait de l'accord de partenariat avec la commune urbaine de Kénitra concernant le transport urbain, le cahier des charges relatif à la gestion déléguée des déchets solides et de la décharge publique, le cahier des charges pour la location du complexe touristique de Mehdia, la régularisation du statut juridique du centre de Mehdia-Kasbah faisant l'objet d'une requalification, la numérotation et le choix des noms des avenues et rues et enfin la conclusion d'un contrat avec un nouvel avocat pour défendre, en cas de litiges, les intérêts de la commune.Concernant le dossier du transport urbain, il a été au centre des discussions des membres du conseil. Le débat s'est focalisé sur les difficultés de transport rencontrées, que ce soit par les habitants de Mehdia et de la Kasbah ou ceux qui se dirigent vers la station balnéaire venant de Kénitra ou des autres régions, notamment durant la période estivale. Le problème est encore accentué si l'on sait que la seule société de transport urbain de Kénitra n'arrive pas offrir aux usagers de la capitale du Gharb un service convenable sur les plans qualitatif et quantitatif. Le problème de collecte et de traitement des déchets ménagers ainsi que les opérations de propreté dans les quartiers de la Casbah et de Mehdia-plage a été aussi au centre des discussions des conseillers. Tous les membres de la commune ont reconnu l'incapacité de la municipalité à gérer ce secteur qui nécessite des moyens techniques énormes et un savoir-faire dont elle ne dispose pas. Le président du conseil municipal a d'ailleurs déclaré, à cet égard, que l'objectif essentiel est de réduire les charges de la commune dans un domaine où elle n'a pas les moyens permettant de mener une bonne gestion pour une population d'environ 27.000 habitants. «Notre but, ajoute-t-il, est d'opérer une mise à niveau de ce service et d'améliorer ses prestations dans le respect scrupuleux du cahier des charges. Cette solution, a indiqué le président du conseil, Khalil Liahiaouine, permettra d'alléger, par la même occasion, les charges de la commune et de créer de nouveaux postes d'emploi.»Concernant le problème de la décharge publique, il a été décidé de traiter ce problème dans un cadre intercommunal et en coordination avec les autorités de tutelle, sachant que cette question d'importance capitale concerne sept communes parmi lesquelles celles de Mehdia et de Kénitra. La relocation du complexe de Mehdia a été aussi l'un des points abordés lors de cette session. Compte tenu de sa contribution à l'alimentation des recettes de la commune et la résiliation du contrat avec son ancien gérant, il a été décidé de lancer un appel d'offres qui sera soumis incessamment, dit-on, aux intéressés conformément aux procédures en vigueur.Par ailleurs et compte tenu de l'expansion urbaine et démographique que connaît le territoire de la commune de Mehdia, les membres du conseil ont décidé de donner des noms aux rues et aux artères de cette grande localité et d'opérer une numérotation pour les maisons et les édifices. Le conseil a, en outre, pris la décision de régler définitivement la situation foncière du centre Mehdia-Casbah qui concerne une superficie de 82 hectares, et ce, en coordination et en concertation avec les «Soulalyines». Le but étant d'opérer une requalification urbaine et permettre aux habitants d'obtenir le statut de propriétaires privés. Plusieurs résidents de Mehdia ont émis le souhait que les points inscrits à l'ordre du jour et qui ont été adoptés puissent être réalisés dans les plus brefs délais pour le bien-être des populations de Mehdia et de ses visiteurs de plus en plus nombreux.
Le conseil municipal de Mehdia s'est réuni en session extraordinaire, le mercredi 9 décembre. Il a été présidé par le président du conseil, Khalil Liahiaouine, en présence du pacha de la municipalité de Mehdia.Les six points inscrits à l'ordre du jour ont été approuvés à l'unanimité par les conseillers communaux présents.
Il s'agissait de l'accord de partenariat avec la commune urbaine de Kénitra concernant le transport urbain, le cahier des charges relatif à la gestion déléguée des déchets solides et de la décharge publique, le cahier des charges pour la location du complexe touristique de Mehdia, la régularisation du statut juridique du centre de Mehdia-Kasbah faisant l'objet d'une requalification, la numérotation et le choix des noms des avenues et rues et enfin la conclusion d'un contrat avec un nouvel avocat pour défendre, en cas de litiges, les intérêts de la commune.Concernant le dossier du transport urbain, il a été au centre des discussions des membres du conseil. Le débat s'est focalisé sur les difficultés de transport rencontrées, que ce soit par les habitants de Mehdia et de la Kasbah ou ceux qui se dirigent vers la station balnéaire venant de Kénitra ou des autres régions, notamment durant la période estivale. Le problème est encore accentué si l'on sait que la seule société de transport urbain de Kénitra n'arrive pas offrir aux usagers de la capitale du Gharb un service convenable sur les plans qualitatif et quantitatif. Le problème de collecte et de traitement des déchets ménagers ainsi que les opérations de propreté dans les quartiers de la Casbah et de Mehdia-plage a été aussi au centre des discussions des conseillers. Tous les membres de la commune ont reconnu l'incapacité de la municipalité à gérer ce secteur qui nécessite des moyens techniques énormes et un savoir-faire dont elle ne dispose pas. Le président du conseil municipal a d'ailleurs déclaré, à cet égard, que l'objectif essentiel est de réduire les charges de la commune dans un domaine où elle n'a pas les moyens permettant de mener une bonne gestion pour une population d'environ 27.000 habitants. «Notre but, ajoute-t-il, est d'opérer une mise à niveau de ce service et d'améliorer ses prestations dans le respect scrupuleux du cahier des charges. Cette solution, a indiqué le président du conseil, Khalil Liahiaouine, permettra d'alléger, par la même occasion, les charges de la commune et de créer de nouveaux postes d'emploi.»Concernant le problème de la décharge publique, il a été décidé de traiter ce problème dans un cadre intercommunal et en coordination avec les autorités de tutelle, sachant que cette question d'importance capitale concerne sept communes parmi lesquelles celles de Mehdia et de Kénitra. La relocation du complexe de Mehdia a été aussi l'un des points abordés lors de cette session. Compte tenu de sa contribution à l'alimentation des recettes de la commune et la résiliation du contrat avec son ancien gérant, il a été décidé de lancer un appel d'offres qui sera soumis incessamment, dit-on, aux intéressés conformément aux procédures en vigueur.Par ailleurs et compte tenu de l'expansion urbaine et démographique que connaît le territoire de la commune de Mehdia, les membres du conseil ont décidé de donner des noms aux rues et aux artères de cette grande localité et d'opérer une numérotation pour les maisons et les édifices. Le conseil a, en outre, pris la décision de régler définitivement la situation foncière du centre Mehdia-Casbah qui concerne une superficie de 82 hectares, et ce, en coordination et en concertation avec les «Soulalyines». Le but étant d'opérer une requalification urbaine et permettre aux habitants d'obtenir le statut de propriétaires privés. Plusieurs résidents de Mehdia ont émis le souhait que les points inscrits à l'ordre du jour et qui ont été adoptés puissent être réalisés dans les plus brefs délais pour le bien-être des populations de Mehdia et de ses visiteurs de plus en plus nombreux.
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