Kénitra, cité hier encore comme la ville qui a échappé à l’urbanisation effrénée, commence à ressembler aux villes victimes de la « bersnalisation » à outrance et au parc de voitures incontrôlé. Kénitra où il y avait des rues avec 2 rangées d’arbres de chaque côté de la chaussée, comme à la rue de l’Eldorado « nationalisé »… et du café du KAC comme on l’appelait du temps de Gérard du Mama’s. Aujourd’hui, on est allé jusqu’à arracher des arbres de l’avenue Mohammed V sans pour autant les remplacer. Que fait la société citoyenne et mitoyenne qui assiste impassible à ce vent du progrès qui balaie tout sur son passage ? Enfin, l’éclairage est devenu faible à la rue Moulay Abdelaziz, des économies de bout de chandelles.
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