Le Forum Qualité s'est ouvert lundi à Kénitra, ville choisie cette année pour le lancement de la 13-ème édition de la Semaine Nationale de la Qualité afin de promouvoir la généralisation du management de la qualité et de permettre à la région du Gharb-Chrarda-Beni-Hssen de développer ses potentialités et améliorer ses résultats.
A l'ouverture de ce forum, le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologie, M. Réda Chami a souligné, dans une allocution lue en son nom par le Secrétaire général du ministère, M. Bousselham Hilia, que les potentialités de cette région et les projets en cours mis en oeuvre par le gouvernement conformément aux Hautes orientations de SM le Roi, permettront d'en faire un important pôle de développement économique et social.
Ils permettront également d'augmenter la contribution de la région au PIB, même si elle ne représente que 2 pc de la production industrielle nationale et des exportations et 1 pc des investissements industriels.
Il a cité, dans ce cadre, le Parc industriel de Kénitra qui sera réalisé sur une superficie globale de 345 ha pour accueillir toute sorte d'activité industrielle, avec un ciblage spécifique en terme de promotion et de positionnement par rapport aux acteurs du secteur automobile et qui permettra la création de 10.000 à 15.000 emplois.
Abordant le thème de cette édition : "la performance passe par la qualité", le ministre a expliqué que ce choix souligne l'importance de la composante qualité en tant que facteur de compétitivité et d'amélioration de la performance de l'entreprise.
Aujourd'hui, a-t-il dit, les performances d'une entreprise ne peuvent être évaluées uniquement sur la base de ses seuls bénéfices et ses résultats nets.
Pour rester compétitives, les entreprises doivent multiplier les démarches de progrès, en "allant de la simple action préventive à la refonte complète des processus", a ajouté le ministre, soulignant l'importance de la création d'une culture de l'amélioration continue au sein des entreprises et de la mise en place d'une démarche de management de la santé et de la sécurité au travail.
Le ministre a rappelé, dans ce cadre, les mesures prévues dans le Pacte national pour l'émergence industrielle, citant notamment le programme Moussanada qui contribue à hauteur de 600.000 DH à toutes les fonctions de support des entreprises industrielles, dont les systèmes de management sont basés sur les normes.
Il a cité aussi le programme Rawaj qui permet aux commerçants de bénéficier d'une aide pour moderniser leurs installations et obtenir la labélisation de leur commerce.
Pour sa part, le représentant de l'Union Marocaine pour la Qualité (UMAQ), M. Ahmed Mrhizou, a estimé que la qualité constitue un garant du développement des entreprises, précisant que l'Union va créer un club des lauréats du prix de la qualité.
De son cô té, le représentant de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), M. Hassan Jiouad a souligné que le contexte international actuel, marqué par une conjoncture économique particulière, interpelle l'entreprise à une grande capacité d'adaptation quant à son mode de gouvernance, qui passe nécessairement par la qualité en tant qu'outil capital pour une gestion optimale et globale.
Le management par la qualité "n'est pas un luxe", mais un choix dicté par la nécessité d'être performant, a-t-il souligné, ajoutant que cette performance ne saurait exister sans le recentrage de l'activité de l'entreprise sur la satisfaction des exigences explicites et implicites du client.
Il a estimé que la performance de l'entreprise n'a de sens que si elle est placée au centre des préoccupations de la stratégie de l'entreprise qui doit être basée sur la relation valeur-coût.
Les deux termes sont indissociables car il ne s'agit ni de minimiser les coûts, ni de maximaliser la valeur produite, mais d'optimiser le rapport entre les deux, tout en améliorant la qualité du service et du produit.
Pour sa part, le représentant de la Fédération des Chambres marocaines de Commerce, d'Industrie et des Services(CCIS), M. Abdellatif Istambouli, a exprimé la disposition des CCIS à contribuer à la sensibilisation des très petites entreprises (TPE) à la nécessité d'adopter la démarche qualité et de l'intégrer dans leurs visions et leurs stratégies de développement.
Les CCIS, a-t-il ajouté, peuvent aussi assurer l'organisation de sessions de formation en faveur de ces entreprises.
Des experts nationaux et étrangers animeront des conférences sur les performances dans le milieu industriel, la prise en compte des besoins des clients et le niveau de la performance, la construction de la performance à travers le partenariat et le pilotage de la performance en entreprise.
D'autres thèmes portant sur l'auto-évaluation de la performance, le pilotage de la performance du système de management global QSE et RSE, la mobilisation de ressources humaines pour une amélioration continue des performances et la promotion de la qualité dans les très petites entreprises figurent aussi au menu du forum.
A l'ouverture de ce forum, le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologie, M. Réda Chami a souligné, dans une allocution lue en son nom par le Secrétaire général du ministère, M. Bousselham Hilia, que les potentialités de cette région et les projets en cours mis en oeuvre par le gouvernement conformément aux Hautes orientations de SM le Roi, permettront d'en faire un important pôle de développement économique et social.
Ils permettront également d'augmenter la contribution de la région au PIB, même si elle ne représente que 2 pc de la production industrielle nationale et des exportations et 1 pc des investissements industriels.
Il a cité, dans ce cadre, le Parc industriel de Kénitra qui sera réalisé sur une superficie globale de 345 ha pour accueillir toute sorte d'activité industrielle, avec un ciblage spécifique en terme de promotion et de positionnement par rapport aux acteurs du secteur automobile et qui permettra la création de 10.000 à 15.000 emplois.
Abordant le thème de cette édition : "la performance passe par la qualité", le ministre a expliqué que ce choix souligne l'importance de la composante qualité en tant que facteur de compétitivité et d'amélioration de la performance de l'entreprise.
Aujourd'hui, a-t-il dit, les performances d'une entreprise ne peuvent être évaluées uniquement sur la base de ses seuls bénéfices et ses résultats nets.
Pour rester compétitives, les entreprises doivent multiplier les démarches de progrès, en "allant de la simple action préventive à la refonte complète des processus", a ajouté le ministre, soulignant l'importance de la création d'une culture de l'amélioration continue au sein des entreprises et de la mise en place d'une démarche de management de la santé et de la sécurité au travail.
Le ministre a rappelé, dans ce cadre, les mesures prévues dans le Pacte national pour l'émergence industrielle, citant notamment le programme Moussanada qui contribue à hauteur de 600.000 DH à toutes les fonctions de support des entreprises industrielles, dont les systèmes de management sont basés sur les normes.
Il a cité aussi le programme Rawaj qui permet aux commerçants de bénéficier d'une aide pour moderniser leurs installations et obtenir la labélisation de leur commerce.
Pour sa part, le représentant de l'Union Marocaine pour la Qualité (UMAQ), M. Ahmed Mrhizou, a estimé que la qualité constitue un garant du développement des entreprises, précisant que l'Union va créer un club des lauréats du prix de la qualité.
De son cô té, le représentant de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), M. Hassan Jiouad a souligné que le contexte international actuel, marqué par une conjoncture économique particulière, interpelle l'entreprise à une grande capacité d'adaptation quant à son mode de gouvernance, qui passe nécessairement par la qualité en tant qu'outil capital pour une gestion optimale et globale.
Le management par la qualité "n'est pas un luxe", mais un choix dicté par la nécessité d'être performant, a-t-il souligné, ajoutant que cette performance ne saurait exister sans le recentrage de l'activité de l'entreprise sur la satisfaction des exigences explicites et implicites du client.
Il a estimé que la performance de l'entreprise n'a de sens que si elle est placée au centre des préoccupations de la stratégie de l'entreprise qui doit être basée sur la relation valeur-coût.
Les deux termes sont indissociables car il ne s'agit ni de minimiser les coûts, ni de maximaliser la valeur produite, mais d'optimiser le rapport entre les deux, tout en améliorant la qualité du service et du produit.
Pour sa part, le représentant de la Fédération des Chambres marocaines de Commerce, d'Industrie et des Services(CCIS), M. Abdellatif Istambouli, a exprimé la disposition des CCIS à contribuer à la sensibilisation des très petites entreprises (TPE) à la nécessité d'adopter la démarche qualité et de l'intégrer dans leurs visions et leurs stratégies de développement.
Les CCIS, a-t-il ajouté, peuvent aussi assurer l'organisation de sessions de formation en faveur de ces entreprises.
Des experts nationaux et étrangers animeront des conférences sur les performances dans le milieu industriel, la prise en compte des besoins des clients et le niveau de la performance, la construction de la performance à travers le partenariat et le pilotage de la performance en entreprise.
D'autres thèmes portant sur l'auto-évaluation de la performance, le pilotage de la performance du système de management global QSE et RSE, la mobilisation de ressources humaines pour une amélioration continue des performances et la promotion de la qualité dans les très petites entreprises figurent aussi au menu du forum.
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