Située en plein centre de la région du gharb, la ville de Sidi Yahya ne semble pas jouer son rôle de carrefour économico-social escompté par les habitants qui se retrouvent dans l’oubli et dans l’anonymat total. Cette localité, aux grandes potentialités aussi humaines que matérielles, n’avance pas d’un cran depuis de longues années, pourtant sa situation géographique est un grand atout pour un éventuel élan dans tous les domaines.
Depuis de longues années cette ville a vécu à l’ombre de la province de Kénitra et tous ses projets socio-économiques ont connu un échec sans que les responsables locaux de la ville aient le courage de les concrétiser ou de permettre aux investisseurs d’entreprendre leur réalisation.
La ville qui sombre toujours dans la désorganisation à tous les niveaux connait de grands points noirs qui résident surtout dans la construction illicite qui entraîne la naissance des quartiers – bidonvilles à l’image du Douar Essaka ou encore celui de l’abattoir qui prend une ampleur menaçante et ce, au su des autorités locales et du conseil municipal.
L’autre problème qui inquiète la population est celui du dépotoir des déchets qui se trouve à un pas de la ville et qui présente un grand danger qui menace la santé des citoyens dont les victimes sont des enfants qui souffrent de grandes maladies respiratoires. Les élus à qui incombe la grande responsabilité de penser aux intérêts de la population qui les a élus, semblent avoir d’autres chats à fouetter que de penser aux infrastructures socio-économiques et socio-culturelles pour permettre aux jeunes de sortir d’une oisiveté meurtrière qui les guette à tout moment.
Les travaux entrepris de terrassement et de réfection des chaussées connaissent une lenteur inouïe qui a poussé les habitants à réagir sous forme d’une pétition, remise aux autorités locales avec 500 signataires pour dénoncer et cette lenteur et la mauvaise qualité des produits utilisés et le manque du contrôle des travaux.
Au niveau du sport, c’est le vide et la seule équipe qui existe moisit dans les étages de la ligue sans aucun soutien et les promesses des responsables s’évaporent devant la déception totale des sportifs qui ont tout le temps frappé à toutes les portes mais en vain.
Aujourd’hui, cette localité a changé de cap et dépend de la province de Sidi Slimane dont les responsables sont appelés à se pencher sur sa situation qui mérite un autre sort eu égard à ses nombreuses potentialités et à sa situation géographique qui font d’elle une ville qui doit jouer adéquatement son rôle économique qui lui convient. Sont-elles conscientes du drame quotidien que vit la population Yahyaouie ?
Pour palier à ces anomalies, les parlementaires et les élus communaux doivent s’acquitter de leur responsabilité et tenir leurs promesses Lors de leur campagne électorale au lieu de laisser cette population vivre dans de grandes injustices sociales qui pourraient un jour pousser vers de vrais malheurs humains aussi menaçants que ceux qu’ils supportent aujourd’hui. Qu’en pensent les responsables provinciaux qui doivent réagir dans l’immédiat pour remettre le développement de cette ville sur les bons rails susceptibles d’aboutir à l’élan escompté. Alors, à quand cet élan attendu ? Nous y reviendrons dans nos prochaines livraisons.
Depuis de longues années cette ville a vécu à l’ombre de la province de Kénitra et tous ses projets socio-économiques ont connu un échec sans que les responsables locaux de la ville aient le courage de les concrétiser ou de permettre aux investisseurs d’entreprendre leur réalisation.
La ville qui sombre toujours dans la désorganisation à tous les niveaux connait de grands points noirs qui résident surtout dans la construction illicite qui entraîne la naissance des quartiers – bidonvilles à l’image du Douar Essaka ou encore celui de l’abattoir qui prend une ampleur menaçante et ce, au su des autorités locales et du conseil municipal.
L’autre problème qui inquiète la population est celui du dépotoir des déchets qui se trouve à un pas de la ville et qui présente un grand danger qui menace la santé des citoyens dont les victimes sont des enfants qui souffrent de grandes maladies respiratoires. Les élus à qui incombe la grande responsabilité de penser aux intérêts de la population qui les a élus, semblent avoir d’autres chats à fouetter que de penser aux infrastructures socio-économiques et socio-culturelles pour permettre aux jeunes de sortir d’une oisiveté meurtrière qui les guette à tout moment.
Les travaux entrepris de terrassement et de réfection des chaussées connaissent une lenteur inouïe qui a poussé les habitants à réagir sous forme d’une pétition, remise aux autorités locales avec 500 signataires pour dénoncer et cette lenteur et la mauvaise qualité des produits utilisés et le manque du contrôle des travaux.
Au niveau du sport, c’est le vide et la seule équipe qui existe moisit dans les étages de la ligue sans aucun soutien et les promesses des responsables s’évaporent devant la déception totale des sportifs qui ont tout le temps frappé à toutes les portes mais en vain.
Aujourd’hui, cette localité a changé de cap et dépend de la province de Sidi Slimane dont les responsables sont appelés à se pencher sur sa situation qui mérite un autre sort eu égard à ses nombreuses potentialités et à sa situation géographique qui font d’elle une ville qui doit jouer adéquatement son rôle économique qui lui convient. Sont-elles conscientes du drame quotidien que vit la population Yahyaouie ?
Pour palier à ces anomalies, les parlementaires et les élus communaux doivent s’acquitter de leur responsabilité et tenir leurs promesses Lors de leur campagne électorale au lieu de laisser cette population vivre dans de grandes injustices sociales qui pourraient un jour pousser vers de vrais malheurs humains aussi menaçants que ceux qu’ils supportent aujourd’hui. Qu’en pensent les responsables provinciaux qui doivent réagir dans l’immédiat pour remettre le développement de cette ville sur les bons rails susceptibles d’aboutir à l’élan escompté. Alors, à quand cet élan attendu ? Nous y reviendrons dans nos prochaines livraisons.
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire