.Elle sera opérationnelle avant la fin de l’année
· Coût de l’investissement: 236 millions de DH
Le gros lot, soit 106 millions de DH, sera consacré à la partie équipement, alors que les travaux de construction vont absorber plus de 80 millions de DH. «Actuellement la production à Bir Rami est assurée par près de 200 salariés. Mais dans la nouvelle usine, notre effectif va s’accroître graduellement pour atteindre à terme 1.600 postes stables», indique un responsable de l’entreprise. Les opérations de recrutement et de formation seront réalisées avec l’assistance de l’Anapec (Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences).
A noter que la totalité de la production de câbles électriques sera exportée vers l’Angleterre pour l’équipement des marques Jaguar et Land Rover. Il faut signaler que le groupe japonais dispose déjà d’une autre usine à Tanger, opérationnelle depuis l’année 2000. Les câbles de cette unité sont destinés à d’autres marques de véhicules comme Nissan, Peugeot et Citroën. «Nous sommes fiers et heureux d’accueillir ce projet qui montre une fois de plus, que notre région a une bonne image économique internationale, ce qui va lui permettre de drainer d’importants investissements créateurs de richesses et d’emplois», indique Jamal Attari, directeur du Centre régional d’investissement (CRI) de Kénitra qui assure le secrétariat du comité local de suivi de la réalisation de ce projet. Cela va permettre donc à la région de Kénitra de renforcer sa position en tant que pôle industriel spécialisé dans les équipements pour l’automobile. Sur ce volet, il convient de rappeler la présence déjà de deux grands opérateurs dans le secteur. Il s’agit de la société française Faurecia et Sews, une filiale d’un autre grand groupe japonais. Le premier est spécialisé dans la fabrication des coiffes pour sièges automobiles. La production du second est focalisée sur le câblage pour automobiles. Le coût d’investissement mobilisé par les deux opérateurs dépasse les 400 millions de DH. Sur le volet de l’emploi, en principe ils devraient créer à terme près de 4.950 postes stables.
· Coût de l’investissement: 236 millions de DH
La région de Kénitra ambitionne de devenir un pôle industriel spécialisé particulièrement dans la fabrication d’équipements pour l’automobile. Plusieurs opérateurs de renommée internationale dans le secteur sont présents dans la zone. Le dernier est le groupe japonais Yazaki qui est déjà opérationnel depuis près de 2 mois dans un local provisoire situé dans la zone industrielle de Bir Rami.Avant la fin de cette année, le groupe nippon va déménager dans sa nouvelle usine en cours de construction sur un site de 4 ha situé près de l’autoroute vers Tanger. Le coût de l’investissement s’élève à 236 millions de DH, selon la convention signée au début de ce mois avec les autorités marocaines.
Le gros lot, soit 106 millions de DH, sera consacré à la partie équipement, alors que les travaux de construction vont absorber plus de 80 millions de DH. «Actuellement la production à Bir Rami est assurée par près de 200 salariés. Mais dans la nouvelle usine, notre effectif va s’accroître graduellement pour atteindre à terme 1.600 postes stables», indique un responsable de l’entreprise. Les opérations de recrutement et de formation seront réalisées avec l’assistance de l’Anapec (Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences).
A noter que la totalité de la production de câbles électriques sera exportée vers l’Angleterre pour l’équipement des marques Jaguar et Land Rover. Il faut signaler que le groupe japonais dispose déjà d’une autre usine à Tanger, opérationnelle depuis l’année 2000. Les câbles de cette unité sont destinés à d’autres marques de véhicules comme Nissan, Peugeot et Citroën. «Nous sommes fiers et heureux d’accueillir ce projet qui montre une fois de plus, que notre région a une bonne image économique internationale, ce qui va lui permettre de drainer d’importants investissements créateurs de richesses et d’emplois», indique Jamal Attari, directeur du Centre régional d’investissement (CRI) de Kénitra qui assure le secrétariat du comité local de suivi de la réalisation de ce projet. Cela va permettre donc à la région de Kénitra de renforcer sa position en tant que pôle industriel spécialisé dans les équipements pour l’automobile. Sur ce volet, il convient de rappeler la présence déjà de deux grands opérateurs dans le secteur. Il s’agit de la société française Faurecia et Sews, une filiale d’un autre grand groupe japonais. Le premier est spécialisé dans la fabrication des coiffes pour sièges automobiles. La production du second est focalisée sur le câblage pour automobiles. Le coût d’investissement mobilisé par les deux opérateurs dépasse les 400 millions de DH. Sur le volet de l’emploi, en principe ils devraient créer à terme près de 4.950 postes stables.
2 commentaires :
dabort,ces sociétés qui embouchent seulement les femmes sont honteux pour nous les hommes!porkoi juste les femmes qui travaillent?meme les filles audessous de 18 ans travaillentla dans! pourqoi messieurs!c'est vraiment pas bien d'emboucher les femmes et de laisser les hommes diplomés dehors,qui a pris ces dicisions la?celui qui a pris cette mauvaise décision doit punir devant la poputation et devant l'histoire;et oui,la justice va arriver bientot messieurs et avec nos mains!
signés par des jeunes diplomés.
que dieu ne bénisse pas ces sociétés,AMINE
Enregistrer un commentaire